• Mission MOE complète VRD
• Mission MOE complète paysage (traitement des espaces publics, gestion des ressources, aspect esthétique et qualitatif des plantations)
• Mise à jour de l’état actuel de l’environnement (contextes physique, patrimonial et paysager, écologique et humain)
• Elaboration du Dossier Loi sur l’Eau (étude des bassins versants, des zones humides, de la gestion des eaux pluviales, la qualité des eaux et les risques)
• Réalisation de la demande d’examen au cas par cas (analyse du projet et des études, échange avec la DREAL et Bordeaux Métropole, synthèse des contraintes applicables au site, déploiement de la démarche ERCA – Eviter, Réduire, Compenser, Accompagner) – Dispense d’étude d’impact

Présentation du projet :
Le secteur Jean Prévôt se situe au nord-est de la métropole bordelaise. Il constitue, au nord de la commune de Bassens, une des dernières opportunités foncières de plus de 7 ha. Il occupe une position géographique charnière entre la zone industrialo-portuaire de Bassens à l’ouest qui est d’intérêt métropolitain et les quartiers résidentiels, s’inscrivant dans la dynamique de projets des quartiers nord.
L’enjeu majeur de ce projet est le désenclavement du site Jean Prévôt, en lui donnant une visibilité depuis l’avenue Georges Clémenceau, qui est un axe structurant, à l’est. Ce site, adossé à la voie ferrée Bordeaux-Paris, jouxte un tissu de quelques habitations et les quartiers résidentiels Pomme d’Or et Prévert au nord et à l’est. Au sud, il borde le bassin Montsouris et les quartiers Hameau des Sources et Beauval.

Programmation :
Le projet comprend quatre opérations :

– 4800 m² de logements
– 8000 m² d’activités
– 1930 m² de commerces et services
– 2500 m² de programme hybride

Ambitions environnementales du projet :
Le projet tend à prendre en compte le contexte climatique et son évolution par plusieurs points.
Il s’agit tout d’abord de gérer qualitativement et quantitativement la ressource en eau sur le projet. Cela passe tout d’abord par un dimensionnement du réseau de collecte des eaux pluviales, par la gestion des à la parcelle en développant les espaces de pleine terre temporaires ou permanents et en pensant le rejet des eaux usées. Il convient également de limiter le recours aux polluants.
Ensuite, le projet se veut porteur d’une réflexion autour de l’exploitation et de la valorisation du potentiel
d’utilisation des énergies renouvelables, par une pensée autour de l’adaptation du bâti et du bioclimatisme.
Enfin, le projet intègre une pensée autour des déplacements du quotidien et comment favorise les mobilités douces pour réduire l’impact carbone du projet.